LE MOT DE LA SEMAINE





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Journal d'une automobiliste
Take a look on this
Tout le monde connait la loi du salaire
Prenez un crayon, du papier
C'est l'histoire de deux amis
Le mot et la chose
Un banquier américain se promène au bord
de l'eau

Femmes : Ne cherchez pas plus loin
les réponses à toutes vos questions !


Au lycée, je suis sorti avec une fille...
Les mots ont la bougeotte (dictée)
Une compagnie cherchait à recruter un cadre
C'est l'histoire d'un ingénieur qui avait un don exceptionnel
Qu'est-ce-que la science ?
Les 100 injures du capitaine Haddock
Kiki était cocotte...
Un chomeur postule pour un emploi....



Journal d'une automobiliste...

7 janvier : Ça y est, j'ai réussi l'examen de conduite! Je peux enfin conduire ma propre voiture sans entendre sans cesse les recommandations des moniteurs répétant: "pas par-là, c'est un sens interdit!", "On est à contresens!", "Attention à la vieille dame", "Freinez, freinez!", Et autres phrases du même genre. Je ne sais même pas comment j'ai fait pour supporter ça ces deux dernières années...

8 janvier : L'auto école a organisé un pot pour mon départ. Les moniteurs n'ont pas fait cours. L'un d'eux a dit qu'il allait mettre un cierge à l'église, j'ai l'impression d'en avoir vu un autre avec les larmes aux yeux et tous m'ont dit qu'ils allaient se saouler pour fêter l'événement. J'ai trouvé cette fête très sympa mais je pense que mon permis ne méritait pas une telle fête.

12 janvier : J'ai acheté une voiture mais, malheureusement, j'ai dû la laisser chez le concessionnaire pour qu'on me remplace le pare-chocs arrière car, quand j'ai essayé de sortir, j'ai mis la marche arrière au lieu de la première. Ça doit être le manque de pratique, ça fait une semaine que je n'ai pas conduit!

14 janvier : Ça y est, j'ai ma voiture. J'étais tellement contente en sortant du garage que j'ai décidé de faire un tour avec. Apparemment, beaucoup de gens ont eu la même idée que moi car j'ai été suivie par un nombre incroyable d'automobilistes qui klaxonnaient comme pour un mariage! Je suis entrée dans leur jeu et j'ai réduit ma vitesse de 10 à 5 km à l'heure. Ils ont eu l'air de beaucoup aimer et ont klaxonné encore plus.

22 janvier : Mes voisins sont sympas. Ils ont placé des pancartes indiquant en grosses lettres : "ATTENTION AUX MANOEUVRES"; ils ont marqué à la peinture blanche une place bien large pour que je puisse stationner et ils ont interdit à leurs enfants de sortir quand je manœuvrais. Il y a encore des gens agréables dans ce monde...

31 janvier : Les autres conducteurs sont tout le temps en train de klaxonner et de me faire des signes. Je trouve ça sympa mais un peu dangereux. J'en ai vu un qui essayait de me dire quelque chose mais je n'ai pas trouvé le bouton qui ouvre les vitres. Pendant que je cherchais, j'ai failli percuter quelqu'un. Heureusement que, prudemment comme d'habitude, je ne dépassais pas 10 km/h.

10 février : Les autres conducteurs ont des habitudes bizarres. Non seulement ils font beaucoup de signes mais, en plus, ils passent leur temps à crier. Je n'entends pas ce qu'ils disent car j'ai les vitres fermées mais je crois qu'ils essaient de me donner des informations. J 'ai l'impression d'avoir compris que l'un d'entre eux disait : "Rentre chez toi !". Je trouve ça étonnant. Comment a-t-il fait pour deviner où j'allais ? Quoi qu'il en soit, quand j'aurai découvert où se trouve le bouton pour ouvrir les vitres, j'en saurai plus!

19 février : La ville est très mal éclairée. J'ai fait ma première ballade de nuit et j'ai dû rouler tout le temps avec les pleins phares, pour bien voir. Tous les conducteurs que j'ai croisés semblaient être d'accord avec moi puisqu'ils ont aussi allumé leurs pleins phares. La seule chose que je n'ai pas comprise, c'est pourquoi ils klaxonnaient. Allez savoir!

26 février : Aujourd'hui, j'ai eu un accident. Je me suis engagée dans un rond-point et, comme il y avait beaucoup de voitures, je n'ai pas réussi à en sortir. J'ai continué à tourner en restant bien près du centre et en attendant une occasion. Ça m'a étourdi et j'ai fini par aller taper contre le monument au milieu du rond-point. Je crois qu'ils devraient limiter la circulation dans les ronds-points!

3 mars : La malchance me poursuit. Je suis allée chercher la voiture au garage et, juste quand je sortais, je me suis trompée de pédale. Accélérant à fond au lieu de freiner, j'ai heurté une voiture qui passait, abîmant tout son côté droit. Le hasard a voulu que le conducteur soit l'examinateur qui m'avait donné mon permis. J'ai insisté sur le fait que c'était de ma faute mais lui, très poliment, n'arrêtait pas de répéter: "Que Dieu me pardonne, que Dieu me pardonne!".




Take a look on this :

Jesus and Satan were having an ongoing argument about who was better on his computer.

They had been going at it for days, and God was tired of hearing all the bickering. Finally, God said, "Cool it. I am going to set up a test which will take two hours and I will judge who does the better job."

So Satan and Jesus sat down at the keyboards and typed away. They moused. They did spreadsheets. They wrote reports. They sent faxes. They sent e-mail. They sent out e-mail with attachments. They downloaded. They did some genealogy reports. They made cards. They did every known job.
But, ten minutes before the time was up, lightning suddenly flashed across the sky, thunder rolled, the rain poured and, of course, the electricity went off. Satan stared at his blank screen and screamed in every curse word known in the underworld. Jesus just sighed. The electricity finally flickered back on, and each of them restarted their computers.

Satan started searching frantically screaming, "It's gone! It's all gone! I lost everything when the power went out!" Meanwhile, Jesus quietly started printing out all his files from the past two hours. Satan observed this and became even more irate. "Wait! He cheated! How did he do it ? ? ! !"

God shrugged and said, "Jesus Saves"



"Tout le monde connaît la loi du Salaire qui établit que les ingénieurs et les scientifiques ne peuvent JAMAIS gagner autant que les hommes d'affaires et les commerciaux. Ce théorème peut enfin se démontrer par la résolution d'une équation mathématique simple.
Notre équation s'appuie sur deux postulats très connus :
Postulat No 1 : La connaissance c'est la Puissance .
Postulat No 2 : Le Temps c'est de l'argent.
Tout ingénieur sait que :
Puissance = Travail / Temps
Puisque Connaissance = Puissance et que Temps = Argent on a donc :
Connaissance = Travail / Argent
On obtient alors facilement :
Argent = Travail / Connaissance
Ainsi quand la Connaissance tend vers zéro, l'argent tend vers l'infini quelle que soit la valeur attribué à Travail, cette valeur peut être très faible. A l'inverse, quand la Connaissance tend vers l'infini, l'argent tend alors vers zéro, même si la valeur Travail est élevée. D'ou la conclusion évidente suivante :
Moins vous en connaissez, plus vous gagnez d'argent.


PS: Ceux d'entre vous qui ont eu quelques difficultés de compréhension doivent être les mieux rémunérés..."



Prenez un crayon, du papier et répondez sans tricher aux questions suivantes :

1. Combien de temps a duré la guerre de cent ans ?
2. Où sont fabriqués les chapeaux Panama ?
3. En quel mois les Russes fêtent-ils la révolution d'octobre ?
4. De quoi est fait un pinceau en poil de chameau ?
5. Les îles Canaries ont été nommées d'après quel animal ?
6. Quel est le prénom du roi George VI ?
7. Quel est la couleur du "roselin pourpré" ?
8. De quel pays proviennent les groseilles chinoises ?
9. Quelle est la couleur de la boîte noire d'un avion de ligne commercial ?
10. Combien de temps a duré la guerre de trente ans ?

Maintenant, faites plaisir à votre ego, consultez les réponses plus bas:

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Les Réponses:
1. Combien de temps a duré la guerre de cent ans ? : 116 ans, de 1337 à 1453
2. Où sont fabriqués les chapeaux Panama ? : En Équateur
3. En quel mois les Russes fêtent-ils la révolution d'octobre ? : En novembre ; le calendrier Russe était 15 jours en retard sur le notre.
4. De quoi est fait un pinceau en poil de chameau ? : De fourrure d'écureuil
5. Les îles Canaries ont été nommé d'après quel animal ? : Le nom latin est "insularia canaria", ou île de chien.
6. Quel est le prénom du roi George VI ? : Albert; quand il devint roi, il respecta le désir de la reine Victoria qu'aucun roi ne porte le nom d'Albert.
7. Quel est la couleur du roselin pourpré ? : Cramoisi.
8. De quel pays proviennent les groseilles chinoises ? : Nouvelle-Zélande.
9. Quelle est la couleur de la boîte noire d'un avion de ligne commercial ? : Orange, naturellement.
10. Combien de temps a duré la guerre de trente ans ? : Trente ans, bien sûr. De 1618 à 1648.



C'est l'histoire de deux amis qui marchaient dans le désert. un moment, ils se disputèrent et l'un des deux donna une gifle à l'autre. Ce dernier, endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable:
AUJOURD'HUI MON MEILLEUR AMI M'A DONNE UNE GIFLE.
Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent un oasis, dans lequel ils décidèrent de se baigner. Mais celui qui avait été giflé manqua de se noyer et son ami le sauva. Quand il se fut repris, il écrivit sur une pierre:
AUJOURD'HUI MON MEILLEUR AMI M'A SAUVE LA VIE.
Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui demanda: "quand je t'ai blessé tu as écrit sur le sable, et maintenant tu as écrit sur la pierre. Pourquoi?"
L'autre ami répondit: "quand quelqu'un nous blesse, nous devons l'écrire dans le sable, où les vents du pardon peuvent l'effacer. Mais quand quelqu'un fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre, où aucun vent ne peut l'effacer ".
APPRENDS A ECRIRE TES BLESSURES DANS LE SABLE ET A GRAVER TES JOIES DANS LA PIERRE.



Le mot et la chose

Madame quel est votre mot
Et sur le mot et sur la chose
On vous a dit souvent le mot
On vous a fait souvent la chose

Ainsi de la chose et du mot
Vous pouvez dire quelque chose
Et je gagerais que le mot
Vous plaît beaucoup moins que la chose

Pour moi voici quel est mon mot
Et sur le mot et sur la chose
J'avouerai que j'aime le mot
J'avouerai que j'aime la chose

Mais c'est la chose avec le mot
Mais c'est le mot avec la chose
Autrement la chose et le mot
A mes yeux seraient peu de chose

Je crois même en faveur du mot
Pouvoir ajouter quelque chose
Une chose qui donne au mot
Tout l'avantage sur la chose

C'est qu'on peut dire encore le mot
Alors qu'on ne fait plus la chose
Et pour peu que vaille le mot
Mon Dieu c'est toujours quelque chose

De là je conclus que le mot
Doit être mis avant la chose
Qu'il ne faut ajouter au mot
Qu'autant que l'on peut quelque chose

Et que pour le jour où le mot
Viendra seul hélas sans la chose
Il faut se réserver le mot
Pour se consoler de la chose

Pour vous je crois qu'avec le mot
Vous voyez toujours autre chose
Vous dites si gaiement le mot
Vous méritez si bien la chose

Que pour vous la chose et le mot
Doivent être la même chose
Et vous n'avez pas dit le mot
Qu'on est déjà prêt à la chose

Mais quand je vous dis que le mot
Doit être mis avant la chose
Vous devez me croire à ce mot
Bien peu connaisseur en la chose

Et bien voici mon dernier mot
Et sur le mot et sur la chose
Madame passez-moi le mot
Et je vous passerai la chose

L'abbé de Lattaignant




Un banquier américain se promène au bord de l'eau dans un petit village côtier mexicain.
Il est à peine midi, un bateau rentre au port, contenant plusieurs thons.
L' Américain complimente le pêcheur mexicain sur la qualité de ses poissons, et lui demande :
- Combien de temps ça a pris pour pêcher ces poissons ?
- Pas très longtemps, répond le Mexicain.
- Mais pourquoi n'êtes-vous pas resté plus longtemps pour en capturer plus ? demande le banquier.
- Parce que ces quelques poissons suffiront à subvenir aux besoins de ma famille.
- Et que faites-vous le reste du temps ?
- Je fais la grasse matinée, je pêche un peu, je joue avec mes enfants, je fais la sieste avec ma femme... Le soir, je vais au village, voir mes amis, boire de la tequila, jouer de la guitare... Une vie bien remplie, quoi !
L'Américain l'interrompt :
- Je peux vous aider. Vous devriez commencer par pêcher plus longtemps, et avec les bénéfices dégagés, vous pourriez vous acheter un plus gros bateau. Avec l'argent que vous rapporterait ce bateau, vous pourriez en acheter un second, et ainsi de suite jusqu'à ce que vous possédiez une flotte de chalutiers. Au lieu de vendre vos poissons à un intermédiaire, vous pourriez négocier directement avec des grossistes, et même créer une marque de poissons. Vous pourriez alors quitter votre petit village pour Mexico City, Los Angeles, puis peut-être New York, d'où vous dirigeriez vos affaires...
Le Mexicain demande alors :
- Combien de temps ça prendrait ?
- Quinze à vingt ans, répond le banquier.
- Et après ?
- Après, c'est la que ça deviendrait intéressant, répond l'Américain en souriant. Quand le moment serait venu, vous pourriez introduire votre société en bourse, et vous gagnerez des millions !
- Des millions ? - Mais après ?
- Après, vous pourriez prendre votre retraite, habiter dans un petit village côtier, faire la grasse matinée, pêcher un peu, jouer avec vos enfants, faire la sieste avec votre femme et passer vos soirées à boire de la téquila et à jouer de la guitare avec vos amis... 



< Ne cherchez pas plus loin les réponses à toutes vos questions !
Voici pourquoi les femmes trouvent difficilement un homme :
- Les gentils sont laids !
- Les beaux ne sont pas gentils !
- Les beaux et gentils sont gay !
- Les beaux gentils et hétéros sont mariés !
- Les pas si pires et gentils n'ont pas d'argent !
- Les pas si pires gentils et avec de l'argent pensent qu'on ne veut que leur argent !
- Les beaux sans argent courent après le nôtre !
- Les beaux pas très gentils ne nous trouvent pas assez belles pour eux !
- Les hommes qui nous trouvent belles, qui sont gentils et ont un peu d'argent sont timides et ne prennent pas l'initiative !
- Les hommes qui ne prennent pas l'initiative sont effrayés dès que nous la prenons !

........maintenant, on sait pourquoi il y a autant de femmes merveilleuses et célibataires !




Au lycée, je suis sorti avec une fille, mais notre liaison manquait de passion. Il fallait trouver une fille passionnée.

Une fois à l'université, je me suis trouvé une fille passionnée, mais elle était trop émotive, tout était toujours urgent ou catastrophique. Elle pleurait pour un rien. Alors j'ai décidé qu'il me fallait une fille qui était un peu plus stable.

J'ai trouvé une fille plus stable. Mais elle était ennuyeuse. Jamais rien ne l'enthousiasmait. Alors j'ai pensé que je devais me trouver une fille plus excitante.

J'ai trouvé cette fille excitante, mais je n'ai jamais pu rester en place avec elle. Elle passait toujours d'une chose à une autre à la vitesse de l'éclair. On n'avait jamais le temps de rien. Elle n'avait aucun but, aucune stabilité. C'est là que je me suis dit: il me faut une fille qui a de l'ambition.

Après l'université, j'ai trouvé cette fille et je me suis marié avec elle. Elle était ambitieuse, elle a demandé le divorce et elle m'a pris tout ce que je possédais.

Maintenant, tout ce que je cherche, c'est une fille avec des gros seins.



"Les mots ont la bougeotte. Seuls ou groupés, ils forcent les frontières, passent par-dessus les vallons, les vallées et les puys, s'immiscent dans nos fourre-tout, voyagent avec nos nippes et nos affûtiaux. Voudrait-on les empêcher de s'envoler tous azimuts que cela se révélerait inopérant. Car les mots sont cachés dans notre bouche, embusqués derrières nos quenottes, notre luette ou nos amygdales. Sitôt arrivés à Montréal, à Canberra ou à Kinshasa, à peine avons-nous, les uns ou les autres, desserré les lèvres, que les mots pressés de s'égailler dans la nature, s'échappent comme des étourneaux. Les mots sont d'infatigables globe-trotters. Ils se jouent des fouilles et des censures. Les mots sont libres comme l'air.

Mais de tout temps, les mots se sont battus pour vivre. Que de verbes et d'adjectifs, frappés d'obsolescence, se sont retirés du trafic ! Que d'onomatopées se sont ressemblé, concurrencées, apostrophées, nui, exclues ! Que de substantifs caducs et prétentieux de petits-maîtres se sont laissé supplanter par les mots succulents des rastaquouères ! Le vocabulaire détonnant et drolatique des sans-culottes a eu l'heur de régénérer substantiellement la langue. Tes esbroufes d'hier, ô ma langue ! sont devenues prosaïmes rabachés d'aujourd'hui. Que de fois t'es-tu retrouvée, ma douce péronnelle, ballotée au gré des modes imprévisibles ! Maintenant tout va plus vite, et les mots, eux aussi, se sont mis au prêt-àporter, au clonage, à l'apocope spontanée. "Je cause, tu causes, il cause..." La plus belle cause c'est la langue".




"Une société cherchait à recruter un cadre. Une des questions posée au cours de l'entretien était :
Vous êtes en train de conduire votre voiture pendant une nuit de violent orage.
Vous passez à côté d'une station de bus dans laquelle des gens attendent :
- Une vieille dame qui semble être sur le point de mourir.
- Un docteur qui vous a déjà sauvé la vie une fois.
- Un homme/Une femme de vos rêves.
Vous ne pouvez prendre qu'une personne dans votre voiture. Dites ce que vous faites et expliquez votre réponse.


Une personne sur les 200 candidats s'est illustrée par sa réponse exemplaire, QUELLE FUT SA REPONSE ?????? . . . .


Il a simplement répondu : ""Je donne les clefs de ma voiture au docteur, le laisse prendre la vieille dame pour l'emmener à l'hôpital, et ainsi je me retrouve seul avec la personne de mes rêves à attendre le bus avec l'avantage non négligeable de passer pour un héros à ses yeux."




C'est l'histoire d'un ingénieur qui avait un don exceptionnel pour réparer tout ce qui était mécanique.
Apres plus de trente ans de bons et loyaux services, il partit a la retraite, heureux.

Un jour, son ancienne société le contacte pour un problème apparemment insoluble sur une de leur machines a plusieurs dizaines de millions de francs. Ils avaient tout essaye pour la refaire fonctionner et tous les efforts, rien n'avait marche. En désespoir de cause, ils l'avaient appelle, lui qui tant de fois par le passe avait réussi a résoudre ce genre de problème.
A contrecœur, l'ingénieur a la retraite accepta de se pencher sur le problème. Il passa une journée entière a étudier et analyser l'énorme machine. A la fin de la journée, avec une craie, il marqua d'une petite croix un petit composant de la machine et dit "Votre problème est la."

On remplaça le composant en question, et la machine se remit a marcher a merveille. La société reçut alors une facture de 300 000 francs de l'ingénieur.
La jugeant un peu élevée, elle demanda une facture détaille, et l'ingénieur répondit brièvement :
- Pour une croix a la craie : 1 F. Pour savoir ou la mettre : 299 999 F.

La société le paya et l'ingénieur repartit dans sa retraite heureuse.




Qu'est-ce que la science ? - C'est de chercher les yeux bandés, dans une pièce obscure, un chat noir.

Et qu'est-ce que la philosophie ? - C'est de chercher les yeux bandés, dans une pièce obscure, un chat noir qui ne s'y trouve pas.

Et qu'est-ce que la la dialectique matérialiste ? - C'est de chercher les yeux bandés, dans une pièce obscure, un chat noir qui ne s'y trouve pas, et de s'écrier : j'ai trouvé !




Les 100 injures du capitaine Haddock.

Anacoluthe ; Analphabète ; Anthropophage ; Anthropopitèque ; Astronaute d'eau douce ; Bachi-Bouzouks; Bande d'ectoplasmes de tonnerre de Brest ; Bande d'emplâtres ; Bandes de zapotèques ; Bayadère de carnaval ; Boit-sans-soif ; Bougre d'amiral de bateau-lavoir ; Bougres d'ectoplasmes à roulettes ; Bougres d'extrait de crétins des Alpes ; Bulldozer à réaction ; Buveurs d'eau minérale; Cannibale emplumé ; Cataplasme ; Catastrophe ; Cercopithèque ; Coléoptères ; Coloquintes ; Concentré de moule à gaufres ; Cornichons de zouaves de tonnerre de Brest ; Cornichons Diplômés ; Crème d'emplâtre à la graisse de hérisson ; Crétin de l'Himalaya ; Crétin des Alpes ; Crétin des Balkans ; Cyclone ambulant ; Cyrano à 4 pattes ; Écornifleurs; Ectoplasmes ; Énergumène ; Épave ; Esclavagiste ; Escogriffe ; Escrocs ; Espèce d'anacoluthe ; Espèce d'analphabète complet ; Espèce d'analphabète diplômé ; Espèce d'anthropopitèque ; Espèce de cigare volant ; Espèce de loup-garou à la graisse de renoncule de mille tonnerre de Brest ; Espèce de porc-épic mal embouché ; Espèce de projectile guidé ; Espèces de patagons de zoulous ; Flibustiers de carnaval ; Gyroscope ; Hydrocarbure ; Iconoclastes ; Invasion barbare ; Invertébré ; Jocrisse ; Jus de réglisse ; Lépidoptères ; Macaques ; Macrocéphale ; Marins d'eau douce ; Mille millions de mille sabords ; Moules à gaufres ; Nyctalopes ; Olibrius ; Ophicléides ; Ornithorynque ; Oryctérope ; Ostrogoth ; Paltoquet ; Pantoufles ; Papou des Carpathes ; Phlébotomes ; Phylloxera ; Polygraphes ; Protozoaires ; Pyrophores ; Rhizopodes ; Rocambole ; Sajous ; Scolopendre ; Sémaphore ; Sinapisme ; Sombre oryctérope ; Soulographe ; Souris neurasthéniques ; Sous-produit d'ectoplasme ; Tchouck-tchouck-nougat ; Tonnerre de tonnerre de Brest ; Traine-potence ; Troglodytes ; Trompe-la-mort ; Va-nu-pieds ; Vampire ; Vermicelles ; Vermine ; Vers de terre ; Vivisectionnistes ; Volatiles de malheur ; Zapotèques ; Zigomars ; Zouave interplanétaire.




Kiki était cocotte et Koko concasseur de cacao. Kiki la cocotte aimait beaucoup Koko le concasseur de cacao. Or le Marquis caracolant conquis par les coquets cacas de Kiki la cocotte offrit à Kiki la cocotte un coquet caraco kaki à col de caracul. Quand Koko le concasseur de cacao s’aperçut que Kiki la cocotte avait reçu du marquis caracolant un coquet caraco kaki à col de caracul, Koko conclut, je clos mon caquet, je suis concasseur.




Un chômeur postule pour un emploi d'homme de ménage chez Microsoft.
Le DRH lui fait passer un entretien, puis un test (balayer le sol), et lui dit :
- Tu es engagé, donne-moi ton e-mail et je t'enverrai le formulaire à remplir, ainsi que la date et l'heure auxquelles tu devras te présenter pour commencer ton travail.
L'homme, désespéré, répond qu'il ne possède pas d'ordinateur, et encore moins d'e-mail.
Le DRH lui dit alors qu'il est désolé, mais que s'il n'a pas d'e-mail, cela signifie que virtuellement il n'existe pas, et comme il n'existe pas, il ne peut avoir ce job.

L'homme sort, désespéré, sans savoir que faire, avec seulement 10 dollarsen poche. Alors il décide d'aller au supermarché et achète une caisse de 10 kilos de tomates. Il fait donc du porte à porte pour vendre ses tomates au kilo et, en moins de deux heures, réussit à doubler son capital. Il répète l'opération encore trois fois et revient chez lui avec 60 dollars. Alors, il réalise qu'il pouvait survivre de cette manière, il part de chez lui tous les jours plus tot et revient chez lui plus tard, et ainsi triple ou quadruple son argent chaque jour. Peu de temps après, il achète une charrette, puis l'échange pour un camion et peu de temps après se retrouve avec une petite flotte de véhicules de livraison.

Passés 5 ans, l'homme est propriétaire d'un des plus grands distributeurs alimentaires des Etats Unis.
Il pense alors au futur de sa famille et décide de prendre une assurance vie. Il appelle un assureur, choisit un plan d'assurance et quand la conversation termine, l'assureur lui demande son e-mail pour lui envoyer la proposition. L'homme dit alors qu'il n'a pas d'e-mail :
- Curieux, lui dit l'assureur, vous n'avez pas d'e-mail et vous êtes arrivés à construire cet empire, imaginez ce que vous seriez si vous aviez un e-mail !
L'homme réfléchit et répond :
- Je serais homme de ménage chez Microsoft !